Peut on se passer d’usagers pour créer un projet ? Bien évidement que non ! Tout l’intérêt d’un projet est d’être fait pour quelqu’un et que ça lui corresponde. Ce qui me plait, c’est aller à la rencontre des gens, parler de leurs envies, de leurs passions. On en apprend beaucoup en faisant ça et en travaillant directement avec ces usagers,sur le terrain, on est sûr de répond à un besoin. Ça tombe bien, c’est toute la vocation du DSAA In Situ Lab.
Pour mon diplôme, j’enquête sur le vin. Entant que jeune Bordelais, j’ai toujours baigné dans le vin. C’est un univers qui m’attire, m’interpelle et me donne envie d’en apprendre plus. Je souhaite créer un lieu en Alsace où le vin et la culture locale seraient à l’honneur. Je ne vous en dirais pas plus… Mais si vous voulez en savoir d’avantage, suivez moi !
Si depuis le début de l’humanité, on semble avoir résolu beaucoup de problèmes autour de nous, celui de l’économie du facteur humain dans nos expériences persiste encore. Selon Rémi, la place du designer est d’interroger les situations, non pas « de problème » mais « d’opportunités », avec les usagers en formalisant leurs valeurs profondes. Investir leur terrain, définir ensemble la problématique-cœur, confronter des prototypes avec leurs attentes, ce sont autant d’opportunités pour comprendre leur écosystème et le transformer.
Plus d’informations sur le projet ; c’est par ici
Consulter les usagers, se nourrir de leur expertise, pour ensuite concevoir des produits ou services adaptés à leurs besoins, voici des méthodes en lesquelles je crois. Les méthodes de l’In Situ Lab en somme !
Des exemples de projets ici : chloedupuy.com
Je me questionne cette année sur les pédagogies de l’école primaire : je les veux enrichies par la culture et l’entretien d’un potager, à l’échelle nationale, de manière institutionnalisée. Pour apprendre à faire ensemble, à planter, récolter, manger, mais aussi communiquer, chercher, s’étonner, activement.