Si notre premier outil questionnait les usagers sur un espace, nous décidons de ré-élargir notre réflexion sur le sujet principal : l’exposition au soleil. Nous avons donc questionner à nouveau les strasbourgeois sur leur relation avec la lumière, l’été et l’hiver.
Premier point, nous leur avons demander de colorier les moments où ils étaient à l’extérieur.
Deuxième point : nous leur avons demandé de compléter les phrases « l’hiver, il manque de ... » et « l’été, il y a trop de …« . But de la manœuvre : confirmer les bien-fondés de notre démarche basée sur le manque/surplus de lumière et mesurer la conscience de nos usagers à ce propos.
Cette nouvelle confrontation avec les usagers sera bénéfique : Notre projet ne doit pas être un espace dans lequel les gens se rendent mais un lieu traversé ou un lieu d’attente. Les arrêts de tram ? Une rue entière ? Nous pouvons maintenant chercher la rue qui serra notre terrain de jeu et servira à accueillir notre projet. Pour se faire, nous regroupons nos observations et les trajets quotidiens parcourus par nos usagers pour définir les points centraux et les quartiers de la ville sujets à accueillir notre futur projet. La visite se fera un chocolat chaud à la main -oui, nous aussi la chaleur nous manque l’hiver- ! À la bien.
Célia, Aurélie, Koulma.