Ce dimanche 6 Mars, Anne, Élora, Guillaume Bonnet et Guillaume Salesse se sont rendu à Natzwiller afin d’aminer un atelier-rencontre pendant l’après-midi qui a été préparer en amont.
L’atelier visait à amener du monde à nous rencontrer afin que nous puissions obtenir des informations venant de personnes que nous ne connaissons pas. Nous avions, pour ce faire, réfléchis à des ateliers de balades, de dessin, et de composition du village, à l’aide d’outils fabriqués au préalable. Nous espérions qu’au moins une dizaine de personnes seraient curieuses et viendraient à notre rencontre. Malheureusement, nous n’avons pu compter que sur 2 venues ; 5 en tout, en comptant 2 adultes et 3 enfants.
De fait, notre après-midi ne fut pas riches en découvertes, et nos ateliers ainsi que nos outils n’ont pas eu les effets escomptés.
Cependant, cela nous à permis de réfléchir, de nous remettre en question sur le type d’actions à mener dans ce village. Ce n’est qu’à l’issu de cet atelier qu’a été perçu la différence fondamentale qui est le rythme. Étant habitué à la ville, et à son dynamisme, Il fut difficile de percevoir le changement de rythme qui s’effectue en milieu rural. Tout est plus lent, les réunions d’associations n’ont pas lieu toutes les semaines, mais 1 fois par mois, les personnes, ont toujours été habitué à se débrouiller seule, ou en très petit comité. C’est pourquoi il est difficile de programmer une rencontre sur un temps court amenant les personnes à sortir de leur routine.
Ainsi, nous estimons à présent, qu’il faudrait qu’ont mettent en place nos formats d’interventions, non pas sur l’action participative, mais le test immédiat, comme ce fut le cas lors de la fabrication des chaises de surveillance baignade à Bataville, dans le cadre du projet de Pauline Cachera.
Nous réfléchissons alors à des projets à installer, pour qu’ensuite nous puissions recueillir les avis et ainsi rassembler du monde. De cette manière nous pourrons avancer dans nos projets respectifs.