La nouvelle école intercommunale de la rose des vents a ouvert ses portes en septembre 2015 dans la commune de Donnenheim. Elle regroupe les enfants des communes de Bilwisheim, Donnenheim, Mittelschaeffolsheim et Olwisheim. Ainsi nous percevons cette nouvelle école comme un acteur central dans le projet du nouveau souffle pour le point de lecture de Donnenheim. Sur ce, nous sommes partis à la rencontre de Thomas RUCH, le directeur de la rose des vents, qui nous a présenté les liens entre l’école et la bibliothèque.
Sa philosophie est la suivante : amener les enfants chercher leurs livres au seins d’une bibliothèque permet de changer la connotation scolaire d’un livre et lui apporter un sens plus ludique et personnel. Ainsi, des plages horaires sont mises en place pour l’accueil des enfants au point lecture. Lors de cet accueil, la moitié de la classe se consacre à l’emprunt des livres tandis que l’autre moitié se livre à un moment d’écoute de contes. Nous avons ensuite rencontré Céline NEVEUX, la directrice des activités périscolaires de l’école de Donnenheim, qui nous a affirmé son intérêt dans le fait lier le périscolaire et le point lecture lors d’activités.
Outils de médiation
Dans l’intention d’en savoir plus sur le rapport entre les usagers des communes environnantes et le point lecture, nous nous sommes rapprochés des parents d’élèves pour recueillir leurs témoignages grâce à des outils de médiations s’établissant en deux parties. Dans un premier temps, nous récoltons leurs témoignages à propos de leurs habitudes grâce à un plateau et des pièces triangulaires que l’ont vient assembler afin de recréer un profil d’usager. Ce plateau nous donne des indices sur la fréquentation ou non d’une bibliothèque par les usagers, quand est-ce qu’il y vont, où, et enfin ce qu’ils y font. Ces outils nous permettent notamment de constater que toutes les personnes interrogées fréquentent une bibliothèque, mais vont à celle de Brumath au lieu de Donnenheim qui est pourtant plus proche. Le second outil, construit sur la base d’un cadavre exquis nous permet de récolter plusieurs informations concernant leur point lecture idéal : le lieu, le moment où il est investi, les activités qui s’y trouvent, et les personnes avec qui il est partagé. Ce cadavre exquis construit alors une phrase qui rassemble les utopies de plusieurs personnes et permet de créer une bibliothèque idéale collective. Ces outils nous ont permis une première rencontre avec les usagers et ont également ouvert des pistes de travail sur lesquelles nous cogiterons ultérieurement, lors de la mise au point de notre projet.
– Le manque d’usagers/bénévoles, ce qui nous a été le plus rapporté par les acteurs du point lecture.
-L’existence d’une nouvelle grande médiathèque toute proche : Brumath attire les potentiels intéressés par le point lecture, ils proposent les mêmes services et plus, dans un espace plus grand et neuf.
-Le manque d’un point de rencontre au sein de la commune nous a tous personnellement interpellé. Ce manque de lieux collectifs induit peut être le manque de communication entre les habitants.
Grâce à nos outils mis en place rapidement pour communiquer et interpeller les usagers nous avons aussi pu récolter leurs désirs et envies à propos d’une bibliothèque idéale, nous notons :
-Un désir global de partager le moment de la bibliothèque avec les enfants est assez unanime, la bibliothèque est d’abord pour les enfants et ensuite pour les parents, mais c’est avant tout un moment agréable à passer ensemble.
-Le désir de la part de l’école d’entretenir une réelle relation avec le point lecture, en considérant que c’est un lieu autre, les enfants ne l’identifie pas à trivialité de l’école. Cependant l’école va très prochainement obtenir un point bibliothèque en ses lieux, il n ‘y aura donc plus de réelles raisons d’aller au point lecture.
Jeudi 5 novembre. 8h45. Truchtersheim. 48° 40' 04' Nord. 7° 36' 12' Est. Nous sommes l’agence Odyssée qui est composée de Lena Vercellone et Agathe Tabeaud en design produit, Suzanne Husson en design graphique et Morgane Marin en design d’espace. Notre aventure commence à la BDBR, Bibliothèque Départementale du Bas Rhin, anciennement appelée « le siège ». Elle n’est pas ouverte au public mais elle est destinée aux bibliothèques communales. La BDBR s’inscrit dans la politique de « la lecture publique ». Son objectif est de faciliter l’accès du plus grand nombre à la culture et d’assurer l’aménagement culturel du territoire. Son intervention départementale s’appuie sur la solidarité, le lien social et le lien intergénérationnel. Notre terrain de jeu sera Roeschwoog. Petite commune au nord du département, à deux pas de la frontière allemande. 2200 habitants. 11h02. Nous faisons connaissance avec Marion Voisin, l’une des deux salariées professionnelles de la médiathèque de la commune de Roeschwoog. On compte également dix bénévoles qui participent au bon fonctionnement du lieu. Nous en serons plus demain, lorsque nous nous rendrons sur le terrain. Vendredi 6 novembre. 14h01. Roeschwoog. 48° 49' 46' Nord. 8° 02' 06' Est. Nous avons rendez-vous avec Marion Voisin devant la médiathèque de Roeschwoog. La ville, éloignée de l’agitation de Strasbourg, semble très paisible. La médiathèque est située en plein centre de la commune, sur le carrefour principal. D’ailleurs, les habitants peuvent facilement s’y rendre à pied, à vélo ou en voiture. 14h12. C’est parti pour une ballade en voiture avec Marion. 14h35. À pied à la mairie. Nous nous présentons aux différents employés. Marion nous apprend qu’elle entretient une relation de confiance avec la mairie. Puis elle nous conduit à explorer le premier étage, l’appartement de l’ancien instituteur. Le temps s’est arrêté. Les années soixante. Son authenticité donne l’impression de visiter un grenier. Certaines pièces sont de simples espaces de stockage. Hors temps. Une question se pose : où stocker les livres qui ne rentrerons plus dans l’espace disponible ? Le Triebüs, petite annexe de la Mairie, pourrait être exploité comme une solution. Mais la diversité d’associations intervenant sur ce site ne nous permet pas d’installer une installation pérenne. 14h57. Situé en face de la mairie, nous découvrons le coeur du projet, la médiathèque de Roeschwoog. Elle est très spacieuse : 530 m2. La médiathèque a été ouverte en 2008 dans l’ancienne mairie où s’est greffée une annexe totalement vitrée. Il y a deux étages. 16500 documents. Au rez-de-chaussée, on y trouve l’accueil, les espaces jeunesse, BD et l’espace d’exposition. C’est un espace chaleureux et coloré. À l’étage, l’ambiance est plus calme et l’éclairage plus apaisant. On y trouve des étagères contenant des livres adultes et une sélection de livres adolescents. Les DVD et les CD se situent au fond de la pièce. C’est un rayon très apprécié, et son emplacement, nous explique Marion, a été choisi pour que les usagers parcourent les rayons dédiés aux autres documents avant d’accéder à celui-ci. Il y a une pièce alcôve avec quelques tables, utilisée uniquement pour les conférences et les activités du samedi matin pour les enfants. Les partitions de musique en revanche, cloîtrées à l’extrémité de la pièce, ne bénéficient pas d’une visibilité suffisante pour attirer un grand nombre de lecteurs. Marion nous présente les différentes catégories, livres et multimédia. Nous constatons qu’une signalétique a été mise en place autour des étagères. Mais nous repérons une accumulation de symboles et d’informations qui nous perd peu à peu. Pictogrammes, typographies, couleurs, supports. On lance la conversation avec quelques usagers. La médiathèque est attractive pour les enfants, mais cible moins les adultes. Une présentation sur le thème du tri des déchets est donnée pour une classe de maternelle à ce moment-même. 18h47. Fin de journée. Samedi 7 novembre. 10h12. Roeschwoog. 48° 49' 46' Nord. 8° 02' 06' Est. Nous revenons à la médiathèque pour rencontrer d’autres profils. Marion Voisin nous annonce que le samedi est très fréquenté. Des enfants qui courent, des parents qui discutent entre eux. La médiathèque est un véritable lieu de vie et de rencontre. 10h35. Nous voulons en savoir plus. D’abord, nous demandons, à l’aide d’un plan simple, les espaces où les usagers se rendent au sein de la médiathèque. On se rend compte rapidement que les espaces enfant sont largement occupés. Les parents viennent principalement pour accompagner leur enfant dans le choix d’un livre ou pour une animation. Les équipements pour les enfants sont divers et nombreux. 11h09. Les discussions avec les usagers continuent sur le devenir de la médiathèque à la prochaine rentrée scolaire. Chacun a son avis. 11h30. Marion est très impliquée dans le bon déroulement de la médiathèque. D’ailleurs, elle est en train de lire un conte pour les enfants. La future cohabitation la préoccupe et notamment le stockage des livres à l’étage. Hors temps. Jeudi 12 Novembre. 9h12. Illkirch-Graffenstaden. 48° 31' 32' Nord. 7° 42' 55' Est. Des pistes de recherches se dessinent en trois grands axes. La future cohabitation peut-elle faire bénéficier plus facilement les usagers l’accès à la médiathèque ? 10h45. Concertation. Nous réfléchissons à un outil qui permettrait à l’usager de nous faire connaître, dans un premier temps, son trajet dans la ville et les points de rencontre. 12h14. Nous continuons la réflexion. Créer aussi un jeu ludique et modulable qui serait à la fois un outil de concertation et un outil de conception. L’usager pourra créer son propre univers. À l’aide de pions en bois, il pourra attribuer des postures et des objets de la médiathèque qui pourront être placés dans toute la ville. 15h21. C’est parti pour la création des deux outils ! Vendredi 13 Novembre. 9H17. Illkirch-Graffenstaden. 48° 31' 32' Nord. 7° 42' 55' Est. La création des outils se poursuit. 11h40. Les pop-up sont terminés. Nous passons au jeu. Un plateau en bois est conçu afin qu’il serve de support aux futurs pions en bois à l’aide d’encoches. Nous réalisons trois boîtes pour ranger les pions que nous allons réaliser : 17h42. Il nous tarde de tester les outils avec les usagers! Mercredi 18 Novembre. 16h04. Roeschwoog. 48° 49' 46' Nord. 8° 02' 06' Est. De retour à la médiathèque. Dans nos mains, les pop-up et une multitude d’objets de transport. Un cabas, un sac à dos, une desserte, un panier et même une cagette. Le but est de proposer aux usagers de la médiathèque de désigner l’objet servant au transport de livres qui leur semble idéal. Nous souhaitons connaître quel rapport ils entretiennent avec l’objet. Les usagers préfèrent de loin le sac à dos, prénommé Thibault, le caddie à roulette, Anna, et le tote bag de la médiathèque, renommé Roger. On nous répond qu’ils sont plus accessibles et ergonomiques pour le transport. Nous partons en laissant sur place nos objets, accompagnés d’un tableau où chacun peut cocher son moyen de transport de livres préféré. 17h11. Nous présentons les pop-up aux quelques lecteurs encore présents. Ils comprennent très vite le fonctionnement : grâce à des éléments prédécoupés, ils peuvent mettre en volume les différents bâtiments afin de nous montrer les endroits qu’ils fréquentent le plus souvent. De plus, nous leur suggérons de tracer leur trajet d’un lieu à un autre. La médiathèque est l’endroit le plus fréquenté, c’est l’espace central de Roeschwoog. 17h45. Marion nous propose de concevoir un présentoir afin de communiquer notre présence au sein de la médiathèque. Bonne idée. Nous pourrons alors laisser les pop-up les jours où nous sommes à l’école afin que les usagers puissent les manipuler. Hors temps. Jeudi 19 Novembre. 09h26. Illkirch-Graffenstaden. 48° 31' 32' Nord. 7° 42' 55' Est. C’est parti, nous peaufinons notre plateau de jeu et nous nous lançons à la construction du présentoir. Nous décidons de construire le présentoir avec une palette en bois. Nous ajoutons différentes boîtes afin de permettre aux usagers de se servir des jeux que nous lui proposons. Par ailleurs, nous rajoutons une petite boîte aux lettres afin que nous puissions récupérer les jeux. Nous créons un espace où les usagers peuvent écrire ce qu’ils désirent et nous leur mettons à disposition des photographies de nos actions qu’ils peuvent récupérer.
Hors temps. Nous souhaitons mettre en place un système qui permettrait aux enfants de transporter les livres de l’étage au rez-de-chaussée afin que la maîtresse puisse se servir de cette opportunité pour l’apprentissage à la lecture.
Samedi 21 Novembre. 09h32. Roeschwoog. 48° 49' 46' Nord. 8° 02' 06' Est. 9H34. Le présentoir s’est trouvé une place dans la médiathèque. 9h40. Nous préparons l’heure du conte. En effet, chaque samedi à 10 heures, Marion lit une histoire aux enfants et leur propose, par la suite, une activité de bricolage ou de dessin. Les enfants répondent présents chaque samedi. C’est une activité qu’ils apprécient. Nous leur avons préparé une feuille blanche avec écrit : « Ma boîte à livres ». Les enfants peuvent dessiner leur bibliothèque idéale et coller des livres à l’intérieur de leur boîte. 10h03. C’est parti pour le conte ! « Vous aimez les livres ? Oui ! » 10h31. Les enfants s’appliquent. Les feutres, les tubes de colles, les crayons. Ils imaginent la boîte à livres idéale. 11h11. Les enfants ont pratiquement tous fini leur création. Ils nous montrent leurs beaux dessins.Nous décidons de les garder afin de s’en inspirer pour la création de l’objet. 11h19. Les activités ne sont pas finies! Nous proposons aux enfants ainsi qu’aux parents de jouer au plateau de jeu. La règle est simple: On ne peut pas placer plus de trois objets devant la médiathèque. Le reste peut être placé chez moi, chez mon voisin ou au restaurant par exemple. Les usagers comprennent facilement le jeu. Certains usagers nous disent qu’ils aimeraient un salon de thé à la médiathèque. Nous leur proposons donc d’écrire sur des pions neutres leurs nouvelles idées. Hors temps. Ces derniers apporteraient une partie des livres de la médiathèque chez eux et profiteraient d’un système d’échange avec les habitants. Jeudi 26 Novembre. 9h55. Illkirch-Graffenstaden. 48° 31' 32' Nord. 7° 42' 55' Est. Le projet de la bibliothèque hors les murs est lancé! La médiathèque, réduite au premier étage, limite le nombre de documents présents. Grâce à l’évolution du plateau de jeu, nous avons constaté que les usagers imaginent facilement que la médiathèque puisse devenir un espace mobile dans la ville. Les ouvrages étant répartis dans les habitations de chacun. Et pour se faire, chaque usager emmène un petit morceau de la médiathèque chez lui, en repartant avec une dizaine de livres pour une durée déterminée de 1 mois. Au bout de ce mois-ci, il est invité à un événement dans la médiathèque pour venir échanger avec les autres habitants du livre qui lui a le plus plu Comment transporter ces livres? Comment cet objet peut-il être évolutif? Grâce au tableau que nous avons recueilli, il ressort que le tote bag (Anna) de la médiathèque est l’objet qui convient le mieux aux usagers. Nous décidons de faire évoluer le tote bag de la médiathèque en lui rajoutant une fonction. En effet, avec son sac, l’usager transporte les livres du mois jusqu’à chez lui, et, arrivé à la maison, son sac se transforme en une petite bibliothèque. Comment les usagers peuvent-ils s’échanger les livres? Les livres, classés par thème sont répertoriés dans une application mobile pour pouvoir connaître leur emplacement, si ils se trouvent à la médiathèque ou chez un habitant. Cette application facilite les rencontres entre les usagers qui veulent s’échanger des livres et permet de créer un véritable réseau. De plus, elle affiche l’agenda des événements organisés à la médiathèque. Des rendez-vous mensuels sont proposés aux usagers pour venir faire découvrir leur lecture préférée. 14h03. En avant pour la création! Vendredi 27 Novembre.10h22. Illkirch-Graffenstaden. 48° 31' 32' Nord. 7° 42' 55' Est. Après avoir étudié les dessins des enfants, nous avons décidé de fabriquer un prototype de l’objet qui servira de lien entre la médiathèque et l’école. L’objet se doit d’être convivial tout en protégeant les livres. Il doit offrir aux enfants un monde imaginaire où chacun peut créer son univers. La mobilivre se déplace de l’école à la médiathèque. Elle transporte les livres, et permet d’installer des ateliers de lecture grâce à son arbre. Les coussins et la tente offrent aux enfants un espace convivial. L’objet est à la fois un outil pédagogique pendant la classe et il est aussi un moment privilégié pour des activités à la médiathèque. La construction commence… ∼ Morgane Marin, Lena Vercellone, Agathe Tabeaud, Suzanne Husson ∼
La problématique se dessine. Une multitude de données et d’informations nourrissent nos interrogations sur le futur projet : au mois de juillet 2016, en raison d’une remise aux normes du bâtiment de l’école maternelle de Roeschwoog, deux classes vont être installées dans les locaux de la médiathèque, au rez-de-chaussée. Mutation temporaire d’une année. Dès lors, l’espace de la médiathèque devra être restreint.
Comment créer une cohabitation sereine et profitable entre les deux institutions ? Comment repenser le nouvel espace de la médiathèque ? Comment éviter que cette métamorphose exerce une baisse de la fréquentation ?
Les maisons traditionnelles, l’école primaire intercommunale et la maternelle, la salle des fêtes, l’église, les complexes sportifs.
Eric, 40 ans : « On parle beaucoup de l’intergénérationnel, mais dans la réalité c’est plus compliqué. »
Bertrand, 42 ans : « Je pense que la cohabitation va rapprocher les usagers. »
Annaëlle, 28 ans : « Les enfants c’est quand même très bruyants ! »
Nous devons savoir où se rencontrent les habitants dans la commune de Roeschwoog. Pourquoi ne pas élargir les horizons ?
Comment peut-on gérer l’importance des ouvrages et des supports numériques ?
Comment la médiathèque peut-elle être réaménagéE afin qu’elle soit plus lisible pour l’usager ?
• une avec les bâtiments de la ville sur lesquels nous inscrivons : « l’école, « la médiathèque », « chez mon voisin », ou encore « la mairie ».
• une avec les documents présents dans la médiathèque comme les DVD, les romans ou encore les documentaires.
• une avec les postures adoptées par les usagers de la médiathèque, s’asseoir ou discuter par exemple.
Et si nous construisions un présentoir qui serait à la fois un outil pour faire connaître nos prochaines actions mais aussi un outil d’expression libre ?
C’est confirmé, nous pensons que la médiathèque possède un grand intérêt à accueillir les deux classes de maternelle. Les enfants pourront bénéficier des livres à l’étage ainsi que des activités. Les parents, venant les chercher l’école, pourront sauter le pas de la lecture en se rendant à l’étage.
Mais aujourd’hui, c’est à nous ! Nous avons décidé, avec l’aide précieuse de Marion, de présenter une lecture aux enfants autour du thème du livre ainsi qu’une activité de dessin.
« Alors allons leur dessiner une boîte où l’on pourrait les ranger! »
Grâce au plateau de jeu, nous nous rendons compte que les usagers placent facilement des livres tel que des romans ou des bandes dessinées chez eux mais aussi chez leur voisin. De plus, nous observons, pour la majorité des usagers, que la médiathèque doit évidemment accueillir des livres, mais doit tout de même conserver ses espaces de convivialité.
Pourquoi ne pas faire participer les habitants de Roeschwoog à la création d’une bibliothèque hors les murs ?
Cette année, nous renouvelons notre collaboration avec la Bibliothèque Départementale du Bas-Rhin et l’ensemble de son réseau pour une nouvelle enquête et de nouveaux projets.
Vous pourrez retrouver la saison 1 ici !
Six terrains seront l’objet de notre action :
Un projet sous la direction de Cécilia Gurisik, Jean Obrecht et Nicolas Couturier
Du 2 novembre au 16 décembre 2015
Cette année, nous renouvelons notre collaboration avec la Bibliothèque Départementale du Bas-Rhin et l’ensemble de son réseau pour une nouvelle enquête et de nouveaux projets.
Vous pourrez retrouver la saison 1 ici !
Six terrains seront l’objet de notre action :
Un projet sous la direction de Cécilia Gurisik, Jean Obrecht et Nicolas Couturier
Du 2 novembre au 16 décembre 2015