Quels ont été les imprévus ?
Surtout quand le tableau s’est cassé. Laissez-moi vous raconter. Lorsque nous sommes revenu·e·s des vacances, la professeur nous a annoncé qu’un de nos tableau avez eu un petit problème en chemin : le cadre s’était cassé ! L’artothèque avait donc conservé l’œuvre pour la ré-encadrer, laissant sa jumelle orpheline… Heureusement, notre professeur avait photographié l’œuvre et l’avait imprimé pour que nous encadrions la copie de notre côté. Nous avons donc encadré l’impression en urgence tandis qu’une partie d’entre nous fabriquait les cartels et l’autre finalisait le montage du podcast. Finalement nous sommes parvenu·e·s à la remplacer (même si la copie était un peu plus fade et que son cadre était un peu rayé).
Pourquoi le choix de ses œuvres?
En l’an de grâce 2025, il était impossible pour les quelques élèves que nous sommes de tomber d’accord. Ainsi, la diplomatie, entité extérieure nécessaire au bon déroulement de tout travail de groupe, fit une apparition brève mais déterminante.
Plus sérieusement, la photographie nous semblait une entrée plus abordable à l’interprétation, offrant un contexte et une matérialité compréhensible. Les œuvres, toutes deux en noir et blanc, semblaient déjà se rencontrer sans notre intervention : il s’agissait pour nous de rendre visibles ces liens.
Des retours sur le podcast maintenant le projet fini ?
Les sons choisis ont su transmettre l’ambiance des œuvres comme nous le souhaitions. Transporté·e·s par une voix calme et apaisante, les auditeurices ont pu se plonger dans cette conversation photographique. Néanmoins, si nous pouvions retravailler l’exposition et son podcast, nous aurions probablement mis plus en avant la rencontre des deux œuvres, ce à l’aide d’un texte axé sur l’immersion et non la description.
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