Amineau-Libot Chloé, Causa Marième & Ranivo Elloïse

Dans le cadre des portes ouvertes du Shadok, un tiers lieux principalement centré sur les cultures numériques à Strasbourg, en premières années d’innovation sociale nous avons mis en place des porteurs de paroles axés principalement sur la technologie et mis en lien avec un autre thème. Ici, nous avons comme thème secondaire celui de l’environnement.

Le porteur de parole est  un concept qui permet de récolter d’une manière ou d’une autre des témoignages, avis ou pensées sur une problématique et ainsi d’inciter à la discussion et au débat. Nous avions dû réfléchir à un support, plus précisément une structure qui sera placée en extérieur pour attirer les passants et récolter leurs divers témoignages vis-à-vis de notre problématique.

Notre problématique:               Numérique: immatériel donc sans impacte réel?

À travers cette question on veut que les gens nous partage ce qu’ils savent et pensent  des impactes du numérique sur l’environnement. Aujourd’hui nous avons tous un peu de numérique dans notre quotidiens, que ça soit les mails pour le travail, les messages et appels à l’autre bout du monde, les jeux vidéos etc. Et contrairement à la pollution par les déchet que l’on peut voir de manière tangible par exemple, le numérique pollue de manière discrète. En plus de récolter les pensées des gens on propose un jeux qui utilise nos présuppositions sur les impactes de différents outils numérique.

À votre avis lequel pollue le plus?

• • faire des recherche sur internet
  • jouer aux jeux vidéos
  • utiliser un GPS
  • appeler en lignes

Pour les classés attribuer le bon poids écologique à la bonne activité avec des sac de différentes tailles.

Passons Technique

À chaque thème une contrainte !
“Créer nos propres normographes pour notre charte graphique.”
Le normographe est un outil de dessin industriel où des contour de lettre ou de formes sont évidés. En restant sur le contexte initial des portes ouvertes du Shadok nous avons repris les demis cercles pour un aspect organique et nous avons ajouté des carrés de différentes tailles pour un aspect plus “mécanique”. Pour notre deuxième normographe nous avons tout simplement découpé les lettres du mot Shadok avec sa typographie respective en gardant des les partie de lettre universelles à toutes celles de l’alphabet. Les couleurs choisis sont le bleu, orange, vert et rose du Shadock.

Les mêmes normographes ont été utiliser pour les pictogrammes du jeux ainsi que le motifs mais la version numérique nous a permis de créer une typographie à base des formes géométriques.

La structure elle se base sur les paravents mais où chaque faces possède sa propre fonctionnalité. Une première, pour afficher les différents retours, débat des passants avec un table ajoutée pour écrire. Une deuxième face centrale, pour la problématique afin d’intriguer et attirer les passants. Et une troisième face, pour le jeux. Notre structure est réfléchis pour viser plusieurs type de passant. L’espace d’affichage et pour les déambulateurs, ceux qui sont curieux mais qui n’ose pas forcément entrer directement dans une discussion. L’espace jeux est pour les plus à l’aise ou même pour mettre plus à l’aise les gens tout en développant le débat.

Les retours

On nous a beaucoup fait la remarque qu’en effet les impacts du numériques sont tellement invisible que personne n’était au courant ou sinon qu’ils s’en doutaient mais pas plus que ça. Car lorsque l’on parle de pollution, on s’imagine souvent des montagnes de déchet et des tortues avec un sachet accroché à elles mais jamais au dépense énergétique fournis pour entretenir des serveurs.

Version 2

Afin d’approfondir nos récoltes nous avons décidé de refaire un porte parole mais cette fois ci dans l’enceinte du lycée. Nouvel espace implique un nouveaux publique et donc une nouvelle approche. Cette expérience devient aussi une chance d’apporter des améliorations. Notamment au niveau de l’équilibre de la structure qui ne résistait pas aux vents fort mais aussi par rapport à la lisibilité du titre. Mais aussi au niveau de notre technique d’approche et de prise de note.

Dans cette nouvelle version nous avons dû abandonner le jeux qui bien qu’il attirait du monde les gens n’ont pas autant le temps que ceux qui se promènent au Rive Étoile.

Ici la structure est moins colorés et seul un mot est écrit avec le normographe de forme pour une meilleur lisibilité de la problématique. Nous avons garder l’espace d’affichage.

En changeant de contexte spatial la problématique a elle aussi changé pour que le publique se sente plus concerné. Un publique composé en effet d’élève/étudiant, d’enseignant, d’administration, d’employer d’entretient, magasinier etc.

Notre nouvelle problématique:      ChatGPT peut-il sauver la planet?

De nos jours beaucoup utilise de plus en plus l’intelligence artificiel, notamment ChatGPT une intelligence artificielle conversationnelle, capable de répondre à des questions, générer du texte, coder et rechercher des informations en ligne. Les élèves plus particulièrement y ont recourt pour des recherches voir des devoirs. Mais bien sur il n’y a pas que les élève qui l’utilise.

Récolte

L’intelligence artificiel est maintenant d’une grande aide car elle permet aux gens de se renseigner sur des domaines et donc d’élargir leur connaissances. En effet bien que le numérique possède tout de même une part non négligeable de pollution indirect c’est en se renseignant et en apprenant que l’on peut adopter de nouveau geste ou en tout cas être plus conscient de ce qu’il y a, ce qu’il se fait et ce qu’il se passe. Une grande partie des adultes interroger insistent tout de même sur une certaine dépendance qui peut être former vis à vis de l’intelligence artificielle mais ne nie pas l’apport qu’il peut y avoir.

Et vous, qu’en pensez-vous de ses deux problématiques?